SHAME ON YOU ISRAËL!
SHAME ON YOU USA!
SHAME ON YOU ARAB LEADERS!
SHAME ON YOU UNITED NATIONS!
SHAME ON EVERY SINGLE WARLORD IN THIS WORLD!
4 août 2006
FROM ISRAEL TO LEBANON - CANA PICTURES!
FROM ISRAEL TO LEBANON - PICTURES OF WAR!
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Je vous invite aussi à regarder les nouvelles du Liban sur la chaîne télévisée libanaise suivante: LBC (cliquez sur LBCI News, puis 'Watch it now on WebTV free'). Pour les personnes qui ne comprennent pas l'arabe, vous pouvez quand même avoir une idée de ce qui se passe en regardant les images)
Vous pouvez également avoir accès à d'autres chaînes télévisées libanaises en ligne en allant sur www.jumptv.com (chercher par exemple Future TV). On peut avoir accès aussi à Al-Jazeera (chercher 'Middle East', puis 'Al-Jazeera News')
LE MASSACRE D'AL QAA:
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Il est 18h45.
Je viens de voir des images en direct de ce massacre.
Il y a 33 morts civils Libanais et Syriens.
Des corps déchiquetés... partout...
Et al-Jazeera ne nous montre que des images 'soft' tellement c'est horrible.
Des agriculteurs, dans une plantation, qui cultivaient et empaquetaient des fruits (pommes, pêches, prunes, etc.) et légumes pour tenter de les vendre (Al Qaa est un village isolé du reste de la Békaa. Les routes qui y mènent ont été pillonées par l'aviation israélienne. Selon le maire du village, les habitants voulaient vendre leurs produits pour subvenir à leurs besoins alimentaires).
Ils ont été massacrés lors de leur pause-déjeuner.
Je ne peux décrire ce que je vois...
Ce sont les premières images qui nous parviennent car les journalistes ont eu du mal à atteindre ce lieu et ont dû marcher pour une longue période.
L'armée libanaise et la Croix-Rouge et des habitants du village s'attèlent à transporter les corps... ce qu'il en reste...
C'est un cauchemar...
Entretemps, je viens de savoir que le village de Taybé au Sud a été bombardé et qu'une famille de 17 personnes a été pillonée: 7 morts et 10 blessé-ées.
QUE QUELQU’UN PUISSE ME DIRE :
POURQUOI DIABLE DÉTRUIRE ENCORE PLUS DE PONTS CE MATIN AU NORD DE BEYROUTH (MAAMELTEIN, ADMA, CASINO DU LIBAN, HALAT, MADFOUN A BATROUN) ET BYBLOS? Des sites du Hezbollah ?? Ah vraiment !!!
Je suppose que le Hezbollah a pris comme quartier général le casino du Liban, histoire de se divertir entre chaque lancement de katioucha ?
Ah oui : note pour l’ambassade canadienne : ELLE NE REPOND PAS LORSQU’ON L’APPELLE !!! C’est le cas aussi de plusieurs autres ambassades dites de pays du ‘tiers-monde’ : SRI LANKA, PHILIPPINES, IRAK, etc.
Vous avez beau me dire qu’il s’agit de traquer le Hezbollah… :
LE LIBAN EST EN RUINES! IL VIT LES PIRES MOMENTS DE SON HISTOIRE! PIRE QUE TOUS LES TREMBLEMENTS DE TERRE, LES TSUNAMIS ET LES BOMBES ATOMIQUES RÉUNIS !
Mon père - qui est physicien - avait calculé le nombre de missiles qui étaient tombés sur nos têtes et leur intensité jusqu’au 6e jour de l’offensive. Il avait conclu que cela équivaut au quart de la bombe atomique qui avait détruit Hiroshima…. Au 6e jour !!! Savez-vous quel jour on est? Le 24e !!! Et les bombardements ne font que s’intensifier…. Faites vos comptes!!
Hier soir, Sayyid Hassan Nasrallah, le secrétaire général du parti du Hezbollah a annoncé ce qui suit : « Si les israéliens vont frapper la capitale Beyrouth [rappelons-nous: cela fait trois jours qu’ils menacent de le faire !], nous allons frapper Tel-Aviv !». « Et si les israéliens arrêtent de bombarder nos villes, villages, civils, infrastructures publiques etc., nous arrêterons de lancer des roquettes sur le Nord de la Palestine occupée ! ».
Cela fait 24 jours que nous ne dormons pas! Notre seule berceuse est le son strident des drones – LES SENTINELLES! et la ‘douce’ symphonie des missiles pesant chacun plus d’une tonne!
Israël intensifie ses bombardements sur Beyrouth
Mots clés : Liban (pays), Israël (pays), beyrouth, tel-aviv, hezbollah
Les bombes israéliennes ont continué de déchirer le Liban hier et les roquettes du Hezbollah ont de nouveau plu sur l'État hébreu, tandis que les dirigeants des deux camps poursuivaient leur surenchère de menaces. Tsahal s'est non seulement dit confiant de pouvoir prendre rapidement le contrôle du sud du Liban, il a aussi intensifié ses bombardements sur Beyrouth en attaquant notamment des zones jusqu'ici épargnées. Le chef de la milice chiite, Hassan Nasrallah, a promis pour sa part de frapper Tel-Aviv si ces raids continuaient.
Les deux belligérants ont en outre poursuivi leur dialogue de sourds. Le premier ministre israélien, Éhoud Olmert, a ainsi affirmé que ses troupes maintiendraient leurs positions au Liban sud jusqu'à ce qu'une force internationale arrive. «Il n'y a pas de limite [de temps]», a-t-il souligné au journal Le Monde. M. Olmert a aussi estimé que la dite force devrait compter au moins 15 000 militaires. Selon lui, elle devrait être constituée de «vrais soldats», une «armée avec des unités de combat prêtes à appliquer la résolution de l'ONU». Le Hezbollah a répliqué qu'il ne donnerait pas son accord à un cessez-le-feu tant que les troupes israéliennes resteront au pays du Cèdre. Hassan Nasrallah a par ailleurs assuré que les tirs de roquettes contre le nord d'Israël ne cesseraient que lorsque Tsahal aura mis fin à ses attaques sur des secteurs du Liban abritant des civils. De son côté, le Conseil de sécurité de l'ONU n'est toujours pas parvenu à se mettre d'accord sur une résolution détaillant la composition de la force internationale et son mandat. Et la bataille politique s'annonce longue, les délais étant pour l'instant repoussés quotidiennement.
«Ce n'est pas étonnant que l'ONU tarde à mettre en place une force d'intervention, selon l'historien Samir Saul, spécialiste du Moyen-Orient. Les pays membres savent qu'ils vont devoir prendre la place d'Israël, qu'ils devront rester sur place longtemps et qu'ils seront perçus comme une armée d'occupation. Ils pourraient bien être obligés de se battre contre le Hezbollah. C'est un nouvel Afghanistan, mais plus dangereux encore.»
La France a indiqué qu'elle était prête à participer à la force mais a refusé de participer à des réunions techniques programmées cette semaine parce qu'il n'y avait pas encore d'accord sur le mandat de cette force. Diplomates et experts ont toutefois estimé qu'ils seraient surpris si la France ne prenait pas la tête de la force internationale. Paris et Washington continuent entre-temps de travailler sur deux projets de résolution, l'une en vue d'arrêter les combats et poser les principes politiques d'un cessez-le-feu, l'autre sur une éventuelle force internationale, selon des diplomates.
Washington reste «assez optimiste» quant à la possibilité de parvenir à un accord. Une résolution du Conseil de sécurité sur le Liban est une question de «jours», a répété hier la secrétaire d'État américaine, Condoleezza Rice. «Nous sommes très proches» d'un accord, a dit Mme Rice sur les ondes de CNN. Quoi qu'il en soit, en raison de contraintes logistiques, cela pourrait prendre six mois avant que la force soit opérationnelle, selon l'expert britannique Bob Ayers. Beyrouth sous les bombes Dans un pays déjà ravagé, l'affrontement entre Israël et le Hezbollah s'est encore exacerbé hier, après plus de trois semaines d'un conflit qui a fait plus d'un millier de morts, principalement des civils libanais. L'aviation israélienne a bombardé la nuit dernière la banlieue sud de Beyrouth, un bastion du Hezbollah chiite, pour la seconde nuit consécutive. Des missiles ont été tirés sur les quartiers de Roueiss et de Haret-Hreik. Plusieurs secteurs ne sont plus que des amas de ruines. Ces frappes sont considérées comme une dangereuse provocation par le Hezbollah, qui a promis de répliquer en attaquant Tel-Aviv. «Si vous bombardez notre capitale, nous bombarderons la capitale de votre entité agressive», a lancé Hassan Nasrallah.
by Christine Pouget Wed Aug 2, 1:05 PM ET
PARIS (AFP) - The three-week conflict in Lebanon has sent the international blogworld into hyperdrive, with a litany of personal experiences, explanations and exhortations crisscrossing the Internet along with disturbing pictures of the violence.
Two days after the air-strike at Qana that killed more than 50 civilians mainly children, the international blog search engine Technorati showed that Qana is its second most requested key-word -- as thousands tune in for alternative views and accounts.
"A hell of a morning! Israelis breakfast a la carte: rare, medium and well done children and women in one of South Lebanon's villages, Qana. An order large enough to feed an entire battalion and to make the Lebanese roar," reads a blog from Beirut-based Pamela Chrabieh Badine.
Above is the picture of a battered child's corpse lying on a stretcher.
From the other side of the border comes the version of "Aussie Dave," a 31 year-old Australian who immigrated to Israel' in 2000.
"While I am sure everyone will be quick to condemn Israel, Hezbollah is fully responsible for this tragic loss of life," he writes.
"They launch rockets from civilian areas because they know Israel's response will draw criticism as civilians are invariably killed. And they increase the chances of civilian casualties by preventing civilians from leaving these areas."
From Washington in the United States, Doha, a 25 year-old Lebanese man, says: "This is truly a brutal way of operating by Hezbollah. I hate violence and death. Enough is enough; the Lebanese government needs to take a stand. My country is wounded."
Which prompts a grateful "Aussie Dave" to respond: "From an Israeli blogger to a Lebanese blogger: stay safe and know that we here in Israel wish you absolutely no harm."
Far from the scene, the world's public swaps views and impressions in hyperspace -- often expressed in the stripped-down shorthand that in all languages has been spawned by blogs, texting and other instant messaging services.
"When you've an army like the Israeli defence force you can't go round making big holes in buildings without trying to find out what there is underneath. Goddammit - that's too much," writes 34-year-old Johan Yanet from French Polynesia.
"I'm no one in particular but I'm part of public opinion. Well Israel's lost my vote ... I'm sorry but dead babies isn't propaganda, it's carnage," he writes.
Among openly political writers, Steve Schippert on the right says: "Undeterred by global outcry as over two thousand rockets and missiles have rained down upon Israeli cities with relatively little note, Israel has made good on their prime ministers declaration of 'enough'. Israel is providing a lesson on fighting the war on terror."
But "Frank Liberal" asks: "Will someone explain to me why the 'forces of freedom' took part in the killing something like 30 children, and adult civilians as well?
"Were those children part of the forces of terror? Is that it? What, were they terrorizing neighborhood cats or something? Does Bush think that Muslims shouldnt be allowed to breed, and those children were the next generations terrorists? Better to nip it in the bud, Mr. Bush? Is that it?"
Loic Le Meur, a pioneer of blogging in France, said "opinion is now being expressed directly on the blogs of thousands of people."
"Convincing people of the justification for a war, or of the need to stop it, has become a real battle of wills."
Libaneses registram relatos dos ataques em blogs
da Folha Online"Há 2.000 anos, em Canaã, Jesus transformou água em vinho. Hoje em Qana, forças israelenses transformam crianças em cinzas", escreveu o libanês Mazen Kerbaj em seu blog (mazenkerblog.blogspot.com), após o bombardeio israelense de Qana al Jalil, cidade a 85 quilômetros de Beirute, ao sul de Tiro. No ataque, ocorrido no último domingo (30), mais de 56 pessoas morreram, 37 delas crianças.Se a referência bíblica que Mazen evoca é polêmica --os israelenses, apoiados por muitos especialistas, situam o milagre de Caná ou Canaã em um povoado homônimo da Galiléia--, o blog deste libanês de 30 anos é um bom exemplo do que se pode encontrar na rede.Os diários virtuais se tornaram um arquivo extraordinário sobre as experiências das pessoas que sofrem com o conflito entre Israel e o grupo terrorista Hizbollah, afirmam especialistas."Tudo está fechado hoje, dia de luto nacional simbólico em memória das vítimas de Qana", escreve Pamela Chrabieh Badine. Ela se apresenta como uma artista libanesa em seu blog (pchrabieh.blogspot.com), que traz ainda a foto de uma criança morta.Já Doha, 25, comparou o bombardeio de Qana ao "êxodo de um sonho" em uma página coletiva (lebanesebloggers.blogspot.com).A guerra em solo libanês está cheia de testemunhos, comentários, desenhos, vídeos e fotos. Esses espaços para a expressão e o debate entre israelenses e libaneses já eram muito numerosos antes do conflito, mas a guerra lhes deu um impulso ainda maior.Nicolas Dupuy, consultor francês sobre multimídia, explica à agência France Presse que "o interesse do 'blog' no tratamento do conflito é, no entanto, menos informativo que cultural ou social". Philippe Martin, especialista francês radicado no Canadá, destaca em nayezpaspeur.ca/blog que existe uma "grande diferença" entre as informações provenientes da imprensa tradicional e a advinda dos blogs."A mídia tradicional informa mais sobre as mobilizações militares, o balanço de perdas físicas e materiais, as posições políticas, os objetivos e estratégias", diz Martin. Os blogs, no entanto, "nos falam mais com o coração, as emoções, o que foi vivido", acrescenta.Para Loic Le Meur, pioneiro francês dos blogs, "agora a opinião se expressa diretamente nos blogs de milhões de pessoas". A internet é "o único espaço não moderado de conversa pública entre libaneses, israelenses e os observadores do mundo inteiro que dão suas opiniões", disse Le Meur.Com
Der Libanon-Konflikt findet längst auch im Internet statt
(freiepresse.de)
Der Libanon-Konflikt findet längst auch im Internet statt. In Blogs verschaffen Vertreter beider Seiten ihrer Empörung und ihren Ängsten Luft oder werben um Verständnis. Im Internet tobe "ein Meinungskrieg", in dem jeder den anderen überzeugen wolle, sagt der französische Blog-Pionier Loïc Le Meur. Gleichzeitig sei das Netz der einzige öffentliche Ort, in dem Israelis, Libanesen und andere frei ihre Meinung über den Konflikt sagen könnten. Die Blog-Suchmaschine Technorati führte am Mittwoch "Kana", "Libanon" und "Israel" auf den Plätzen vier, fünf und sechs der meistgesuchten Themen auf. Anfang der Woche nach dem israelischen Luftangriff auf Kana mit mehr als 50 Toten waren der Ort und "Libanon" an zweiter und dritter Stelle zu finden.
"Was für ein schrecklicher Morgen", schrieb Pamela Chrabieh Badine aus Beirut in ihrem Blog pchrabieh.blogspot.com nach dem Angriff. "Israelisches Frühstück à la carte: roh, medium und durchgebratene Kinder und Frauen in Kana." Dazu ein Bild von einem getöteten Kind auf einer Bahre. "Aussie Dave", der 2000 von Australien nach Israel emigrierte, entgegnet von der anderen Seite der Grenze: "Bin sicher, dass alle schnell dabei sind, Israel zu verurteilen." Doch für "diesen tragischen Verlust von Leben" sei die Hisbollah verantwortlich: "Sie schießen Raketen aus zivilen Gebieten ab, weil sie wissen, dass Israels Antwort Kritik hervorrufen wird, weil der Tod von Zivilisten unvermeidlich ist." Die kanadisch-israelische Journalistin Lisa Goldmann versteht ihren Blog ontheface.blogware.com/blog dagegen als "Stimme der Mäßigung".
Pu capable d’entendre dire aux infos que l’action de Bush fils et d’Olmert et de Harper sont en vue d’établir la démocratie dans le Proche-Orient, qu’il faut mettre fin au terrorisme… alors que, dites-moi, est-ce qu’on doit imposer ses croyances et sa religion aux autres? Non, n’est-ce pas! Eh bien pas plus ne doit-on imposer la démocratie aux autres… Les terroristes, ceux qui sèment souffrances, douleurs, crimes et terreurs, sont des deux côtés…
Je ne sais pas si on peut croire un instant que nos gouvernants sont des gens intelligents… certes, ils ont l’intelligence de leurs intérêts… mais non celle du cœur…
Il faut être vraiment d’un crétinisme évident pour ne pas comprendre qu’on ne peut faire la paix que par le DIALOGUE. Je rejoins en cela M. Lang en France.
Les hommes qui ainsi nous gouvernent et qui décident à notre place (sans qu’on le veuille) de démembrer des pays et des gens de la sorte, sont DES IMPUISSANTS. Car il faut être totalement impuissant pour ne pas être capable de dialoguer ouvertement SANS la force des armes… Votre gouvernance est un ÉCHEC si vous continuez ainsi.
Réveillez-vous!
La politique, c’est avant tout, le peuple et le peuple, lui, ne veut pas de la guerre.
J’ai une écoeurantite quand nous montre des israéliens se prélasser dans un clubmed mis sur pied à leur intention, payé par un Juif très riche (grand bien leur fasse) alors que des enfants, de tout petits enfants palestiniens ou libanais meurent de façon atroce… cela soulève le cœur.
Vous les médias il m’arrive parfois d’avoir envie de vous traiter de VENDUS. Parce qu’il faut vraiment l’être (on sent par derrière le lobby juif) pour oser comparer les pertes de ces israéliens que nous aimons par ailleurs, à celles vécues par les Libanais et les Palestiniens… Où est donc passée l’intelligence dans ce monde? Où est donc passé la Sagesse? Où est donc passé le bon sens?
Les autres, c’est l’enfer et on continue de façon éhontée à ne pas comprendre qu’en tuant l’autre, c’est soi-même que l’on tue. Bien sûr, il y a des actes répréhensibles, mais c’est des deux côtés des frontières; ce n’est pas en contre attaquant que vous y mettrez fin.
IL Y A UNE NÉCESSITÉ URGENTE DE CHANGER DE MENTALITÉ DANS CE MONDE.
Je n’ai ici exprimé qu’une toute petite partie de mon écoeurantite.
Bien sûr, personnellement, je bénis l’ennemi de quelque bord qu’il se trouve, par pure compassion, parce que, de toute évidence, c’est l’ignorance qui mène le monde, parce que j’aime tous mes frères et sœurs en humanité. Mais je n’approuve pas les façons de faire, les injustices, l’incapacité à régler les conflits. L’esprit du capitalisme et de la domination. Trop de testostérone, c’est assez! Un peu d’AMOUR VRAI et de SAGESSE, SVP. Merci!
Salutations distinguées,
Odette (Montréal)
François Zamparini, 34 ans, chef de projet pour Handicap International au Liban depuis 3 ans a vécu le début de la guerre, le 12 juillet, et la mise en place des premières actions humanitaires : Comment réagit la population libanaise depuis le début de la guerre ?
News Press 03/08/2006 23:36:00
Some obvious points one should remember before building an opinion :
- Others are just like me; I am an Other for other people.
- What I see as right others see as wrong and vice-versa – this does not mean either of us is right.
- Even Muslims can think
- Islam is not a synonym to brain washing – it is a religion like any other
- Killing ‘infidels’ is not an Islamic ritual, in fact it is not even permitted in Islam.
- If one has a beard it does not mean he is evil/hits his wife and kids/ has a Kalashnikov/oppresses his family/will explode soon.
- Allahu Akbar has nothing to do with detonating a bomb.
- Killing the ‘Indians’ (we call the original population of America Indians just because at a certain moment Columbus thought he was in India) was as serious a crime as the Holocaust (it was also a systematic killing of a whole race) – or in fact as any other genocide – yes there were many genocides in History.
- The IRA are also called terrorists but they are not Muslims.
- Iran is not an Arab country
- Yes some women really like being veiled
- Muslim is not a synonym for Arab
- If Bush says so it doesn’t mean it is necessarily true, in fact most of the times it means the exact opposite.
- The Media are not a reference
- Journalism and Fiction use the same language
- Syria is not an Islamic country
- Justice is not a term invented by the UN, and the UN does not have copyright for it.
- You cannot make peace without war – if there was no war you don’t even need to make peace
- The Arabs are Semites too, so they can’t be anti-Semitic because it would be suicidal.
- Fascism is a European invention, and Hitler did not speak Arabic nor Persian
- Arabs and Muslims don’t feel guilt for the Holocaust simply because they had nothing to do with it.
- If many Arabs are dying that doesn’t mean their life is worth less than any other human on this planet or that they don’t really mind.
- Self defense is reciprocal
DIFFUSER LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE.
Fuel crisis threatens to shut hospitals
BEIRUT: The fuel crisis has taken a dramatic turn for the worse when hospitals, among other public services, have announced that if the current situation continues, they may be forced to close within the next week to 10 days. Health Minister Mohammad Khalifeh told The Daily Star that the hospitals in the gravest conditions are those based in the South, especially in Tyre and Sidon, where not only is it extremely difficult to get supplies in, but they have the heaviest patient load, and are quickly running out of fuel to generate electricity.
"Our fuel reserves are extremely low at the moment. If the situation continues and we're still not able to receive the tankers that are waiting at sea, then it is likely that the hospitals can close within a week; those in the South maybe within five days," Khalifeh said, emphasizing the point that they are trying their hardest to work with the international community in order to bring the fuel into Lebanon.
"We cannot let the hospitals close down, regardless of whether they are in South or in Beirut. At the moment, our priority is the South because this is the area that has been most affected by the bombardments, and this is the area that is running lowest on energy supplies. As soon as we are able to receive the fuel, we are going to try and get it to the South," the health minister said.
In Beirut, the American University of Beirut Medical Center is also facing the same problem of fuel shortages. "We are already experiencing power cuts, and we are getting our power from two suppliers; Electricite du Liban (EDL) and our power plant, which we use only when there is no alternative. We are receiving power for about 10 hours a day now, but obviously this is not guaranteed each day and recently the power cuts have been more prolonged," said Dr. George Tomey, acting president of AUB.
The Medical Center, and hospitals in general, are now obliged to either postpone operations, or cancel them completely as the lack of electricity means rationing what is still available. Furthermore, if EDL is still denied access to the necessary fuel, then hospitals will have no option but to shut down. Tomey has already begun to introduce rationing schemes, primarily cutting down on unnecessary fuel consumption, so the amount used per day has been reduced to 22,000 liters, which is half of their normal intake.
"Our biggest problem is that a good percentage of our patients are passing through our emergency and operating rooms, and the constant power cuts make their conditions that much more critical. The same goes for those already in intensive care," stated Tomey, "But if they don't release the fuel that is waiting to arrive soon, then we will probably have to shut down within a week."
Unless the international community pressures Israel to allow the waiting tankers to come into Lebanon, the fuel shortage will undoubtedly add to the reasons for the rapidly increasing death toll.
Aoun : Une force multinationale sera considérée comme « force d’occupation »:
Le général Michel Aoun s’est déclaré hier « totalement opposé » au déploiement d’une force multinationale, qu’il compare à une « force d’occupation ».Dans un entretien au Figaro à paraître aujourd’hui vendredi, le chef du Courant patriotique libre s’oppose tout particulièrement à l’envoi d’un contingent français sur le sol libanais.« Les soldats français sont les bienvenus en tant qu’observateurs de la Finul. Ils font du tourisme, c’est bon pour l’économie, mais nous n’en voulons pas en tant que force de dissuasion », explique-t-il, en rappelant l’attentat du Drakkar en 1983 contre les paras français.Pour le général Aoun, une éventuelle force internationale « ne stabilisera rien du tout ». « Elle va au contraire déclencher une nouvelle guerre. Ce sera une force d’occupation pour faire la guerre au Hezbollah et pour assurer la sécurité d’Israël (...) C’est pourquoi les Français ne veulent pas en faire partie » sans accord politique préalable, estime-t-il.Déployer une force « accroîtrait les risques de guerre civile », prévient-il. « Les combattants du Hezbollah se défendront contre ses soldats, et les Libanais prendront position pour ou contre », dit-il. À ses yeux, « un cessez-le-feu suffit ».
(OJ, 4 août 2006)
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Ce Franco-Libanais de 75 ans veut « préserver la dignité des personnes »
À peine évacué, Tobie Zakhia, le président de la CNSS, veut revenir au Liban:
Chargé de réformer la Caisse nationale de Sécurité sociale (CNSS), Tobie Zakhia vient d’être évacué en France. Mais il veut revenir vite s’acquitter de cette tâche qui lui a été assignée juste avant les bombardements israéliens, même si elle semble aujourd’hui passée au second plan.« Je ne sais pas si c’est encore prioritaire, mais il s’agit en premier d’aider à préserver la dignité des personnes, explique-t-il aux correspondants de l’AFP. Je ne peux pas ne pas repartir. Le Liban a davantage besoin de moi que la France. »Évacué voilà quelques jours, Zakhia, un Franco-Libanais de 75 ans, ancien président de la Communauté vie chrétienne (CVC) en France et dans le monde, a réussi à venir à temps pour expliquer ce qui se passe au Liban aux milliers de membres de la famille ignatienne venus à Lourdes au jubilé jésuite.Originaire de Amchit, il partage son temps entre la France, où vit sa famille et où il a occupé des postes-clefs à la Sécurité sociale, et le Liban. Il y a fondé en 1997 l’Institut de gestion de la santé et de la protection sociale à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth, en partenariat avec les universités de la Sorbonne et Paris-Dauphine.En juin, Tobie Zakhia a été nommé président de la Caisse nationale de Sécurité sociale « J’ai réussi à réunir le conseil d’administration. Je compte rentrer dès que possible pour continuer », affirme-t-il.Il compte bien également prendre part à l’effort d’aide pour le Liban. « Je repars encouragé, ajoute-t-il, beaucoup de participants au rassemblement jésuite ont promis leur soutien via l’Université Saint-Joseph ou l’ordre de Malte.Un million de réfugiés« Nous aurons besoin de médicaments, d’appareils médicaux, estime-t-il. Mais il faudra surtout pouvoir bouger, reconstruire les plus de 90 ponts détruits, faire rentrer les gens chez eux, avec l’assurance d’un accord international : il y a presque un million de réfugiés, dans un pays de quatre millions d’habitants, dont la moitié n’ont plus aucun domicile. »« Toutes les écoles publiques sont occupées et on commence à accueillir les réfugiés dans les écoles privées. Mais comment pourra se passer la rentrée ? Et dès que l’automne arrivera, avec les pluies, la situation sera intenable », ajoute-t-il.Il faudra aussi lutter contre la marée noire qui souille les côtes libanaises, nettoyer le pays de ses ruines. « Mais comment nettoyer dans le Sud et la Békaa, où Israël n’a pas donné les plans des mines antipersonnel déployées ? » dit-il.« Tant qu’on est en état de guerre, le pays ne peut fonctionner qu’en système d’urgence. En attendant, les bombardements israéliens ont réussi à transformer tous les Libanais en résistants ! » ironise-t-il.
(OJ, 4 août 2006)
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La propagande est aussi importante que les combats sur le terrain
La guerre des mots fait rage entre les protagonistes
La bataille pour les « cœurs et les esprits » fait rage au Liban sur tous les fronts : la télévision, la radio, l’Internet, les téléphones portables, et elle est aussi importante que les affrontements acharnés dans les collines du Sud, rapporte l’AFP dans un article signé Charles Levinson.
(OJ, 4 août 2006)
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ÉTUDE
III – Le Hezbollah entre « culture de l’espace » et « culture du territoire »
L'étude réalisée par Michel HAJJI GEORGIOU ET Michel TOUMA
Le Hezbollah accorde-t-il la priorité dans son action à la « culture du territoire » (par essence nationale) ou plutôt à la « culture de l’espace » (par essence communautaire et régionale, dépassant le cadre national, donc du Liban) ? Dans ce contexte, la doctrine du Hezbollah lui impose de se soumettre pour toutes les décisions à caractère stratégique au « wali el-fakih », qui n’est autre que le guide suprême de la révolution islamique iranienne (présentement l’imam Khamenei). Dans ce troisième article, Michel Hajji Georgiou et Michel Touma analysent ces deux aspects qui dictent la stratégie et la ligne de conduite du parti chiite. Dans les deux précédents articles, ils avaient évoqué le processus historique et sociopolitique qui a pavé la voie à l’émergence du Hezbollah au Liban (« L’Orient-Le Jour » du 29 juillet) ainsi que les circonstances de la naissance de la formation intégriste et les racines de son action politique (« L’Orient-Le Jour » du 1er août). La reconnaissance de l’autorité politique et religieuse absolue et supranationale du guide suprême, le « wali el-fakih » (actuellement Khamenei et avant lui Khomeyni) représente l’une des principales caractéristiques (sinon la principale) de la doctrine du Hezbollah. Une compréhension profonde du système de la « wilayat el-fakih » constitue un éclairage indispensable pour une bonne perception de la ligne de conduite du Hezbollah à l’égard de dossiers ayant une portée stratégique.
La crise actuelle dans les territoires palestiniens occupés, au Liban et en Israël, prouve la futilité des stratégies militaires jusqu'au-boutistes et des demi-solutions imposées
Premier de deux textes *** Maillon faible du conflit israélo-arabe, le Liban paie cher son impuissance militaire. Pris entre trois feux, Israël, la Syrie et l'inspiration nationale légitime palestinienne, le pays du Cèdre a subi plusieurs invasions et interventions étrangères. Les intervenants ont toujours recouru à la religion pour justifier leurs méfaits.
La France, puissance mandataire et héritière de l'Empire ottoman dans cette partie du Levant, a taillé une constitution qui a gravé le confessionnalisme sur le corps de la structure du pouvoir au Liban. Les interventions américaines en 1958 et en 1983 étaient surtout destinées à creuser davantage le fossé confessionnel en appuyant le pouvoir pro-occidental chrétien. Les deux mésaventures malheureuses n'ont renforcé ni la position des protégés américains, ni celle des États-Unis au Liban et au Moyen-Orient. Les plus importantes invasions du Liban par Israël, en 1978, en 1982 et en 1996, ont donné naissance à la création du Hezbollah et ont produit les massacres de la population palestinienne dans les camps de réfugiés de Sabra et Shatila (1982) et des Libanais à Cana (1996). L'aventure de 1982 a duré 88 jours et a tué 18 000 personnes. Toutes ces invasions, qui avaient pour objectif premier la destruction de l'OLP et du Hezbollah, ont produit des résultats opposés. L'organisation palestinienne devient partenaire de paix pour l'État hébreux et la volonté palestinienne de se libérer du joug de l'occupant se poursuit dans les territoires occupés. Le Hezbollah, pour sa part, émerge comme la seule force arabe contraignant Israël à évacuer un territoire arabe occupé.
Les trois invasions ont été sanctionnées par Washington, qui se réservait le droit d'imposer un règlement aux belligérants, tout en s'affairant à maintenir la suprématie militaire stratégique d'Israël sur les Arabes. L'intervention américaine arrivait à un moment critique, alors que survenaient des bavures israéliennes où la condition humaine des gens envahis soulevait l'indignation de l'opinion publique internationale.
Sur le plan stratégique, les invasions -- qui n'ont ni altéré sérieusement les rapports de force ni créé de nouvelles réalités durables sur le terrain favorisant la position des groupes libanais pro-israéliens -- compliquent tout règlement pacifique permanent des conflits sur la base d'une légalité internationale.
La crise actuelle dans les territoires palestiniens occupés, au Liban et en Israël, prouve la futilité des stratégies militaires jusqu'au-boutistes et des demi-solutions imposées. La résolution de ces conflits serait plus facile que ce qu'on laisse penser, coûterait moins cher et produirait de meilleurs résultats si un «grand jeu» n'opposait pas les aspirations régionales aux attentes des grandes puissances. Jeu des enjeux Région sensible et stratégique, le Moyen-Orient était un enjeu important durant les décennies de la guerre froide. Israël constituait un élément central d'une alliance très hétéroclite proaméricaine qui englobait des pays arabes comme l'Égypte et l'Arabie Saoudite tandis que le Front de refus, la Syrie, l'OLP et d'autres, s'alignait sur l'Union soviétique. La fin du système bipolaire coïncide avec la présence écrasante des États-Unis dans tous les aspects de la vie régionale. Les erreurs stratégiques du régime irakien en envahissant l'Iran (1980-1988), puis le Koweït (le 2 août 1990) et son programme de fabrication des armes de destruction massive, que les États-Unis utilisent comme prétexte pour remodeler tout le Moyen-Orient sur le schéma des conservateurs extrémistes au pouvoir à Washington, accélèrent la descente aux enfers des peuples de cette région et consolident la domination mondiale américaine. Le projet de la démocratisation du grand Moyen-Orient doit répondre aux exigences politico-militaro-économiques des États-Unis. Dans cette nouvelle configuration qui devrait conduire à une Pax Americana, toute voix dissidente doit être étouffée et la soumission de la région sera absolue. Un des objectifs de la présente guerre consiste à éliminer une de ces voix indésirables, celle du Hezbollah. Si Israël réussit à écraser la capacité militaire du mouvement et à le neutraliser dans l'équation politique au Liban avec la complaisance américaine et de la majorité des États arabes, le gouvernement de Tel-Aviv marquerait des points importants. Le réaménagement de la partition du pouvoir au Liban défavoriserait, comme dans le passé, les chiites et pourrait faciliter les tentatives des éléments libanais favorables à un règlement de conflit avec Israël. Cette stratégie, résultante de l'invasion de 1982, a échoué dans le sang. La deuxième conséquence d'une victoire décisive éventuelle d'Israël serait l'isolement de la Syrie et la perte de ses droits légitimes sur son territoire occupé, les hauteurs du Golan. Le troisième résultat de ce développement serait une politique militariste plus agressive dans les territoires palestiniens occupés. Le premier ministre d'Israël, Éhoud Olmert, serait conforté dans sa visée unilatéraliste d'imposer la carte territoriale et politique d'un futur État en Palestine. Les faits historiques nous enseignent l'inefficacité à moyen et à long terme d'une telle politique. En d'autres mots, la question palestinienne demeurera le noeud gordien de la situation bloquée au Moyen-Orient. Le renforcement des régimes régressifs et proaméricains arabes sera une conséquence de ce développement. Cela ne fera que retarder momentanément l'inévitable changement politique et économique dans ces pays. Une radicalisation des mouvements contestataires, de couleur religieuse ou nationaliste, restera la seule issue de la situation bloquée. Une relecture de l'histoire des pays du Moyen-Orient depuis les années 60 montre le recul de la modération au fil des échecs et défaites arabes envers Israël et les États-Unis. Donc, la vie d'une victoire israélienne, qui est en fait celle des États-Unis dans l'analyse des peuples de la région, ne sera que de courte durée. La prochaine tempête sera plus dévastatrice; elle ne laissera pas grand espace à la raison et à la modération. La Syrie d'abord Indépendamment de la couleur politique des dirigeants de ce pays, y compris dans la faible probabilité d'un changement de régime à Damas, la libération du Golan restera l'objectif suprême de la politique étrangère et de la défense de la Syrie. La victoire politique déjà acquise du Hezbollah dans l'opinion publique arabo-musulmane est une bonne nouvelle pour Damas. L'éradication très peu probable du Hezbollah serait un coup très dur pour la Syrie. Contrairement aux déclarations israélo-américaines sur la subordination du Hezbollah au diktat de Damas, la Syrie reste un joueur important dans la région et le renforcement de son isolement ne sert ni les intérêts combinés israélo-américains ni ceux des régimes arabes dits pro-occidentaux. Et l'Iran Le régime islamique a des rapports idéologiques et organiques avec le Hezbollah, en plus des relations politiques et stratégiques que celui-ci entretient avec la Syrie. La Constitution iranienne a fait, pour le gouvernement de Téhéran, une obligation de solidarité avec les déshérités du monde, notamment les musulmans. Cela n'a cependant pas empêché la République islamique d'être très pragmatique dans sa politique étrangère, de l'acceptation de la résolution 598 du Conseil de sécurité des Nations unies, qui mettait fin aux hostilités avec l'Irak, au présent conflit israélo-libanais, où le régime de Téhéran a clairement déclaré son refus d'aider le Hezbollah militairement et a empêché le départ des étudiants iraniens volontaires prêts à se martyriser dans la guerre contre «l'arrogance [États-Unis] et le régime sioniste[Israël]». Même si le déclenchement des hostilités par le Hezbollah était destiné à faire oublier la question nucléaire iranienne (une analyse israélo-américaine que nous ne partageons pas), il reste que le résultat de la crise actuelle aura un impact direct sur les rapports de l'Iran avec le reste du monde. Un Hezbollah sorti vivant de l'épreuve actuelle sera une carte gagnante avec une portée très limitée pour l'Iran dans ses rapports extérieurs.
Bonjour Pamela,
ReplyDeleteQuelle nuit vous avez eue à passer... Quelle nuit, Pamela!
Dis donc, vos voisins , ceux qui se prétendent « Élus de Dieu », auraient-ils élu domicile chez vous? Vu d'ici, on dirait bien que oui: Comme des touristes américains ,ils se trimbalent dans vos rues, bien assis dans de gros « véhicules utilitaires », lesquels sont munis à l'avant d'une sorte de longue trompe qui lance du feu, chapeaux en métal sur la proéminence située au dessus de leurs épaules, probablement pour se protéger du soleil, mitraillettes à la main, en signe d'amitié, messages de politesse descendant du ciel, tels des langues de feu vous annonçant l'imminence de leur arrivée plutôt fracassante, jouant de la bombarde à tous les matins,pour égayer votre lever... Dis, quand, « par erreur » planifiée depuis des mois, ils tuent plus de trente de vos enfants en dix minutes, vous font-ils payer les balles et autres frais de déplacement? S'Ils ne le font pas, c'est qu'ils sont drôlement polis, les «Élus »!
Mais ça, comme je te l'ai dit tantôt, c'est vu d'ici! C'est d'ailleurs pour ça que je te pose toutes ces questions. Je suis d'un naturel curieux, que veux-tu?
J'allais oublier ! Hier, en descendant l'secalier menant à la cafétéria, deux « élus » habillé en brun se sont foulés une cheville, rien de grave, cependant. Mais « le Premier Élu » les a vu claudiquer un peu.Et il a dit que c'étaient des terroristes de chez vous qui avaient placé volontairement 2 Fritz sur la marche de l'escalier: Il a immédiatement convoqué une conférence de presse au cours de laquelle il a dit, notamment, qu'il allait vous le faire payer très « CHAIR ». Paraît même qu'il voudrait envoyer une ou deux armées, des avions munis de bombes, des bateaux, etc, pour exécuter une sorte de vengeance céleste... On dit qu'il jase avec un nommé dieu et ce, à tous les matins. Mais, personne n'ayant vu le monsieur dieu, on dit que ce « Premier Élu » est un fou sanguinaire. Ça, par contre,je le crois. Rien que d'y voir les deux portes qui lui servent d'oreilles, on a l'impression de faire face à un vampire. Méfiez-vous: un vampire qui devient fou, faute de sang frais, ça peut tuer beaucoup d'enfants, de femmes, de vieillards,etc, En plus, non seulement ne sera-t-il jamais accusé de quoi que ce soit, mais on le félicitera d'assurer ainsi sa survie, surtout qu'il démontre beaucoup de bravoure, car il s'abreuve chez ses voisins.
Pamela, Odette,
Le ton que vous utilisez aujourd'hui, c'est celui que je voulais entendre depuis bien logtemps!
Merci !
André.
Je suis de culture musulmane et arabe. je pleure tous les jours en pensant à ce que vivent les libanais (musulmans, chretiens ou juifs (pourqoui pas?) ou hatés. Et ...
ReplyDeleteJ'en veux pas aux juifs.
Mais plus aux sionnistes et aux imperialistes (israeleens, americains, etc ...) . Detester les "juifs", musulmans ou chretiens serait trop facile. Les gens du peuples payent toujours quelque soit leur croyance ou origine (arabe, americains ou mexicains).
J'en veux plus aux dirigeants qui eux font des affaires d'or et de petrole en endoctrinant les petits gens (arabes ou israeliens ou americains, juifs ou chretiens ou musulmans), les montant les uns contre les autres et en leurs racontant des mensonges.
À bas l'impérialisme (dans tous les sens, dans toutes les langues et religions et de toute nationnalité) et vive l'union des gens ordinaires.