Saturday, May 24, 2008

Lebanon is dead! Long Live Lebanon!

Le Liban est mort! Vive le Liban!


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A propos de voix-es alternatives Libanaises, voici un exemple pertinent: un texte de Gilbert Doumit, de Nahwa al-Muwatiniya (Towards Citizenship - Vers la citoyenneté), une ONG de jeunes militant pour la démocratie et la citoyenneté au Liban.

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Here is an example of alternative Lebanese voices-paths: a text by Gilbert Doumit from Nahwa al-Muwatiniya (Towards Citizenship), an NGO founded by youth activists working for democracy and citizenship in Lebanon.


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We woke up the morning of May 21 and we celebrated the awakening of Lebanese politicians.

Congratulations to us, the Lebanese people, for losing ‘only’ 65 casualties and more than 100 injured for politicians to come into an agreement. Congratulations to politicians to have leaded the country for 3 years where sectarian and racist discourse was promoted, and finally they agreed on what they disagreed upon for the last fifteen months. Congratulations to the Arab leaders and mainly the Qatari for being more mature and qualified to solve the Lebanese insanity better than the Lebanese themselves.

They killed Lebanon and they are reviving it again. When do you think they will kill it again? Lebanon’s life and death, war and peace, depend on 2 factors; first and foremost one is the self-narrow interest of the politicians and second are the agendas of regional and international players.

What about the two visions/projects for Lebanon that they have been preaching us about? Did the Syrians and Iranians let go their project being implemented by Hizbullah and the opposition in Lebanon? Did the Americans and Israelis let go their project being implemented by the Future Movement and March 14 in Lebanon?
They have been accusing each other of being the others' puppets, and that the two visions for Lebanon can never meet. How did these projects meet today in Qatar?

Lebanon’s destiny depends on unqualified, incompetent and immature warlords, theocrats, corrupt, autocrats and sectarian feudalists. When do you think they will kill Lebanon again? When are Lebanese going to start holding them accountable for their past and present? Are they going to wait for the second round of violating the constitution, calling for sectarian violence and treating us as fire woods? How are we going to diffuse the hatred they enhanced during the last 3 years?

They agreed on the absurdity of the Lebanese democracy which entails that the president is known without elections, the cabinet is divided to make sure everyone has a piece of the cheese and an electoral law that failed to reconstruct the political system in 1960.

Lebanese are happy because politicians granted them security for the sake of accepting that they govern them again; while waiting to be insulted by the same politicians who made deals on behalf of their people and proved to be unqualified and unable to build a nation .

Lebanon is dead and won’t live with the same political leadership and let’s get ready to face and survive the second round.

The minimum we can do is to ask politicians to apologize to the people who were killed and let the victims decide if they tolerate them or not. There is no democracy, no sovereignty and no independence without justice even in the banana republic.

Lebanon is dead… Long live Lebanon!

With Hope and Determination,


Gilbert Doumit

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Ci-dessous également un article intéressant de Marie-Anne Muller sur les 'indépendants' ou voix 'alternatives' au Liban, paru dans iloubnan:


Ni 8, ni 14: la troisième voie
Beyrouth, Par Marie-Anne Muller

Le 26 mai 2008


Face aux deux gros rouleaux compresseurs du 8 mars et du 14 mars, difficile de jouer les électrons libres pour les citoyens libanais. Pourtant, certains d’entre eux ne se reconnaissent pas dans les idées défendues par la majorité et par l’opposition et revendiquent clairement leur statut d’indépendants. Pour eux, la quête d’une troisième voie est semée d’embûches.


« Même mes étudiants me demandent si je suis pour le 14 ou le 8 mars ! Tout le monde veut vous coller une étiquette. C’est comme un besoin dans cette situation de tension », estime la juriste Marie-Claude Najm. « Il existe un tel alignement émotionnel, confessionnel et politique actuellement, qu’on doit forcément être pour un parti ou pour l’autre. Si on sort de ce schéma, on se heurte à l’incompréhension. On est très dur envers ceux qui sont en dehors », regrette-t-elle. Pourtant, si cette professeur en droit de l’USJ ne se revendique d’aucun camp, ce n’est pas pour autant qu’elle est neutre, loin de là. « Je suis passionnée par la politique, mais je ne me sens représentée par aucun parti libanais. Les politiciens actuels n’ont pas de vision ou de programme politique. Je suis d’accord avec certaines critiques de l’opposition à l’égard du gouvernement, mais quelle alternative propose-t-elle ? Aucune ! Pourtant, c’est ça qui devrait être débattu !»Le cas de Marie-Claude Najm n’est pas isolé. Pamela Chrabieh Badine, chercheure libano-canadienne, a le sentiment d’être ostracisée dans le système actuel. « Les ni 8 ni 14 mars existent, mais ils ne sont pas représentés dans l’espace public. Et dans les talk shows, ce sont toujours les jeunes des mouvements politiques qui sont invités, pas les indépendants ». Son affranchissement des deux clans en décontenance plus d’un. « Ils me disent, ce n’est pas possible, tu as sûrement un penchant ! C’est comme si ma voix ne comptait pas, sous prétexte que je n’adhère pas à la majorité et l’opposition ! L’existence politique est malheureusement réduite à ces deux mouvements ».


Mayssaloun Nassar, de son côté, pense que la situation du pays n’est guère propice à la création d’un nouveau mouvement. « Lorsque la division est à son apogée comme maintenant, on ne peut pas être neutre. Et c’est difficile de convaincre qu’on est citoyen, avant d’être de telle confession ou de tel parti politique ». Pour autant, cette jeune femme qui travaille dans l’audiovisuel refuse de rentrer dans une case bien définie : « Moi, j’aime le Liban, ce n’est pas de la poésie. Même si je ne suis pas représentée au Parlement, je ne suis pas isolée pour autant. Au Liban, tout le monde peut s’exprimer. Personne ne peut m’isoler. A travers des réalisations artistiques ou médiatiques, on peut induire des changements dans la société et faire évoluer les mentalités » est-elle convaincue. Les ONGs sont pour Mayssaloun un terrain propice à ce travail. « Elles peuvent servir de tremplin à des actions politiques ».Marie-Claude Najm s’est d’ailleurs investie dans Khalass ! une campagne indépendante initiée par la société civile libanaise pour exhorter les responsables politiques à dépasser le blocage. « Le propre d’une société civile, c’est de faire un travail de lobby sur les politiques. Khalass ! est un mouvement positif, mais ce n’est pas suffisant pour faire pression, ça permet de pointer du doigt ce qui ne va pas, mais sans faire en sorte que ça ne fasse plus mal ».


Pour la juriste, la seule solution pour les citoyens, c’est la sanction dans les urnes. « Mais les politiciens n’ont aucune crainte à ce niveau, car ils ont fidélisé leurs sympathisants, notamment par l’argent. Nous avons besoin d’une troisième voie et en même temps, au milieu de ces deux gigantesques camps politiques, un discours autre risque d’être étouffé dans l’œuf ». Pamela Chrabieh Badine souligne le défaitisme de la société civile. « Quand des actions sont menées, elles sont malheureusement réduites. Mais si chacun pense : J’ai le droit, la responsabilité de demander des comptes, alors la situation peut évoluer ». La chercheure contribue à ce type d’action avec son dernier ouvrage, « Voix-es de paix au Liban. Contribution des jeunes de 25-40 ans à la reconstruction nationale » qui fait entendre des voix alternatives, engagées pour la paix. Son blog, http://pchrabieh.blogspot.com, lui sert aussi d’espace d’expression. Internet peut servir aisément de plate-forme à une troisième voie. Sur Facebook, ce réseau social tant affectionné par les Libanais, aux côtés de aficionados des deux clans, des petits groupes d’un genre nouveau font leur apparition, les « ni 8 mars ni 14 mars ». Ses membres sont souvent des Libanais installés à l’étranger. « Si les Libanais de la diaspora pouvaient voter, le changement serait possible », est persuadée Pamela Chrabieh Badine.


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Merci Marie-Anne! Courage pour la suite!

Je n'ai pas encore perdu courage...


Pamela

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Des chargés de cours honorés
FORUM, Université de Montréal (Québec, Canada)

28 avril 2008
Le SCCCUM organise une soirée reconnaissance


Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université de Montréal (SCCCUM) a honoré, le 11 avril, 32 de ses membres qui se sont distingués par leurs réalisations au cours des mois précédents.
«Les chargés de cours se déploient dans toutes sortes de domaines et nous trouvons important de souligner leurs bons coups», a résumé Francis Lagacé, président du SCCCUM. La soirée de reconnaissance des chargés de cours était une première, mais M. Lagacé entend en faire une activité biennale.
Les lauréats sont: Oro Anahory Librowicz, Guillermo Aureano, Pamela Chrabieh Badine, Mohamed Ben Amar, Normand Biron, Christina Blais, Daniel Borcard, Carlo Carbone, Marie Clark, Boniface Diarra, Djibril Diop, Bruno Fortin, Sorel Friedman, Marc-André Gagnon, Frédérique Gardye, Arlène Gaudreault, Claude Grégoire, Jean-Marie Guindon, Francis Lagacé, Alain Lalonde, Louise-Laurence Larivière, Sylvie Lavoie, Patrick Lynes, Christiane Mayer, Guylaine Messier, Robert Paquin, Pierre Pelletier, Christine Préville, Mario Provost, Annick Thérien, Maxime Thibault et Teresa Visca.

12 comments:

Anonymous said...

Robert Fisk: So just where does the madness end?
All the monsters buried in the mass graves of the civil war have been dug up
Saturday, 17 May 2008

I am not sure what was the worse part of this week. Living in Lebanon? Or reading the outrageous words of George Bush? Several times, I have asked myself this question: have words lost their meaning?
So let's start with lunch at the Cocteau restaurant in Beirut. Yes, it's named after Jean Cocteau, and it is one of the chicest places in town. Magnificent flowers on the table, impeccable service, wonderful food. Yes, there was shooting at Sodeco – 20 yards away – the day before; yes, we were already worried about the virtual collapse of the Lebanese government, the humiliation of Sunni Muslims (and the Saudis) in the face of what we must acknowledge as a Hizbollah victory (don't expect George Bush to understand this) and the danger of more street shooting. But I brought up the tiny matter of the little massacre in northern Lebanon in which 10 or 12 militiamen were captured and then murdered before being handed over to the Lebanese army. Their bodies were – I fear this is correct – mutilated after death.
"They deserved it," the elegant woman on my left said. I was appalled, overwhelmed, disgusted, deeply saddened. How could she say such a thing? But this is Lebanon and a huge number of people – 62 by my count – have been killed in the past few days and all the monsters buried in the mass graves of the civil war have been dug up.
I chose escalope du veau at the Cocteau – I am sickened by how quickly I decided on it – and tried to explain to my dear Lebanese friends (and they are all dear to me) how much fury I have witnessed in Lebanon.
When Abed drove me up to the north of the country three days ago, bullets were spitting off the walls of Tripoli and one of the customs officials at the Syrian border asked me to stay with him and his friends because they were frightened. I did. They are OK.
But being from the wrong religion is suddenly crucial again. Who your driver is, what is the religion of your landlord, is suddenly a matter of immense importance.
Yesterday morning (and here I will spoil the story by telling the end of it), the schools reopened round my seafront apartment and I saw a woman in a hijab riding a bicycle down the Corniche and I took a call from my travel agent about my next trip to Europe – Beirut airport reopened – and I realised that Lebanon had "returned to normal".
The roads were open again; the hooded gunmen had disappeared; the government had abandoned its confrontation with Hizbollah – the suspension of the Shia Muslim security chief at the airport (who bought me a bottle of champagne a year ago, I seem to remember – some Hizbollah "agent" he!) and the abandonment of the government's demand to dismantle Hizbollah's secret telecommunication system was a final seal of its failure – and I opened my newspaper and what did I read?
That George Bush declared in Jerusalem that "al-Qa'ida, Hizbollah and Hamas will be defeated, as Muslims across the region recognise the emptiness of the terrorists' vision and the injustice of their cause".
Where does the madness end? Where do words lose their meaning? Al-Qa'ida is not being defeated. Hizbollah has just won a domestic war in Lebanon, as total as Hamas's war in Gaza. Afghanistan and Iraq and Lebanon and Gaza are hell disasters – I need no apology to quote Churchill's description of 1948 Palestine yet again – and this foolish, stupid, vicious man is lying to the world yet again.
He holds a "closed door" meeting with Lord Blair of Kut al-Amara – a man stupendously unfit to run any Middle East "peace", which is presumably why the meeting had to be "closed door" – but tells the world of the blessings of Israeli democracy. As if the Palestinians benefit from a democracy which is continuing to take from them the land which they have owned for generations.
Do we really have to accept this? Bush tells us that "we consider it a source of shame that the United Nations routinely passes more human rights resolutions against the freest democracy in the Middle East than any other nation in the world".
The truth is that it is a source of shame that the United States continues to give unfettered permission to Israel to steal Palestinian land – which is why it should be a source of shame (to Washington) that the UN passes human rights resolutions against America's only real ally in the region.
And what is Washington doing in the country where I live? It has sent one of its top generals to see the Lebanese army commander, signalling – a growing Fisk suspicion, this – that it has abandoned its support for the Lebanese government. The Americans promise more equipment for the Lebanese army.
Yes, always more equipment, more guns, more bullets to the Middle Eastern armies though – I have to say yet again (and I repeat that I do not like armies) – the Lebanese army saved us all this week. Its commander-in-chief, General Michel Sleiman, will become the next president and the Americans will support him and feel safe, as they always do, with a general in charge. "Chehabism", as the Lebanese would say, has returned.
But I am not so sure. Sleiman gets on well with Damascus. He is not going to lead his soldiers into a pro-American war against Hizbollah. And the Lebanese are not going to join Bush's insane "jihad" against the "world terror".
There was a lovely moment in northern Lebanon this week – and here a big cheer for my brave friend Abed – when a Lebanese soldier at a checkpoint spotted me in our car and ran into the road.
"You are Mr Robert!" he shouted. "I have seen you on television! I read your book!" And he gave the thumbs-up sign. And I had to like this man. And I think he will fight for Lebanon. But I do not think he will fight for the Americans.

Anonymous said...

Textes pertinents de Doumit et Fisk.
Ils relatent bien la situation actuelle au Liban.
Notre nouveau président de la république fut élu hier dimanche: le général Michel Sleiman, à presque totale unanimité (cela fait partie du deal de Doha).
Mais la démocratie, oublions-la...
Tout a été concocté à l'avance. C'est frustrant de voir ces 'leaders', des pions à la solde de l'étranger, diriger le pays tel qu'ils le veulent.
Il fallait voir hier le parlement libanais rempli à craquer de ministres des affaires étrangères venus des quatre coins du monde assister à l'élection du président libanais.
Du jamais vu ailleurs!

G.

Anonymous said...

Excellents articles!
Merci Pamela!
Voilà un changement du mainstream médiatique que nous avalons à tout bout de champ.
A croire les médias actuellement au Liban et au niveau international, une nouvelle ère a commencé. Je demeure sceptique.
Attendons pour voir ce qui va se passer.

Luna

Anonymous said...

Nahwa al Muwatiniya is pleased to invite you to an open dialogue session with the executive director of LADE:

Said Sanadiki

Titled:

A Piece for everyone?

Electoral negotiation in Doha

Sanadiki is the executive director of the Lebanese Association for Democratic Elections (LADE), and a member of the steering committee of the Civil campaign for Electoral Reform (CCER). Sanadiki is an accredited bridge (Building Resources in Democracy Governance and Election).

He will talk about the procedures of the Doha Conference in regards of the electoral law.



Join us in this lively and informal debate!



PLACE: Café Yet on Hadi Nasrallah Boulevard (intersection with Sfeir bridge) next to Pizza Plus, facing BLOM bank - Dahieh

DATE: Monday, June 2 at 7:30 p.m. sharp

Anonymous said...

Voici une réflexion personnelle portant sur comment le pays devrait agir pour que les Marocains se mobilisent nombreux à l'occasion des élections législatives prévues en principe en 2012. Vous la trouvez à ce site:
http://www.europe2020.org/spip.php?article548&lang=fr


Cordialement.

Aziz Enhaili

Dr. Pamela Chrabieh said...

Merci Aziz pour le lien à ton article et merci à tous pour vos commentaires.
Quant à la situation au Liban, c'est toujours le status quo et l'attente de la formation d'un nouveau cabinet ministériel - mais pas si nouveau qu'on le pense puisqu'il s'agit des mêmes leaders qui se partagent le pouvoir. Les rancoeurs et la haine sont ancrées dans les esprits d'un bon nombre d'individus. Hier soir, lors d'une réunion, je me suis aperçue de l'ampleur des dégâts causés par l'accumulation des mémoires conflictuelles. La fosse est trop profonde pour pouvoir y remédier immédiatement. Des générations vont devoir y travailler. Un dur labeur nous attend continuellement. Mais pour un changement drastique au pays, il va falloir que le régime politique soit réformé, et la classe politique soit renouvelée; cette fois, plus de néoféodalité!

Anonymous said...

BARAK OBAMA CHANGERA-T-IL LE COURS DE LA POLITIQUE ETRANGERE AMERICAINE AU MOYEN-ORIENT? NON!!!
(passage de l'Orient-le-Jour d'aujourd'hui):
"(...) Mme Clinton, qui avait refusé d’admettre sa défaite mardi soir, l’a fait de manière implicite hier lors d’un discours devant l’Aipac, le principal lobby pro-israélien aux États-Unis. « Je sais que Barack Obama sera un bon ami d’Israël », a-t-elle dit, visiblement très émue. Elle et M. Obama sont intervenus séparément devant l’Aipac mercredi matin, le sénateur de l’Illinois promettant, lors d’une de ses premières épreuves en tant que nouveau candidat démocrate, « d’éliminer » la menace que fait peser l’Iran sur Israël, tout en réaffirmant sa volonté de rencontrer les dirigeants iraniens sous des conditions préétablies. Sa proposition de rencontrer le président iranien Mahmoud Ahmadinejad avait été dénoncée avec véhémence par son adversaire républicain John McCain, lundi, devant la même assemblée de l’Aipac. « Contrairement à ce que prétendent certaines personnes, je n’ai pas l’intention de me réunir avec nos adversaires uniquement pour dialoguer. Je suis prêt à mener une diplomatie forte avec le dirigeant iranien approprié dans le lieu et au moment de mon choix et seulement si elle sert les intérêts des États-Unis », a annoncé hier le sénateur de l’Illinois. « Mais l’option militaire reste sur la table. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour empêcher l’Iran d’obtenir une arme nucléaire, tout », a-t-il insisté.
« En tant que président, je ne transigerai jamais quand la sécurité d’Israël sera en jeu », a-t-il dit dénonçant ceux qui nient l’Holocauste, ceux qui veulent la destruction d’Israël ou encore ceux qui ne reconnaissent pas l’existence d’Israël. « Ceux qui menacent Israël nous menacent », a martelé le candidat démocrate. Il a promis d’offrir à Israël tous les moyens disponibles pour se défendre « de toutes les menaces qu’elles viennent de Gaza ou de Téhéran ». Il a par ailleurs indiqué que la Syrie doit arrêter de soutenir le terrorisme et les « groupes terroristes » comme le Hamas et le Hezbollah"...

Que ce soit donc un démocrate ou un républicain élu aux États-Unis, cela ne change en rien notre situation au Liban et au Moyen-Orient. Et bien sûr, les États-Unis ne vont pas se défaire de leur "ami" Israël et de leurs intérêts communs.

Voilà!

Youmnus said...

Bonjour,

J'ai bien apprécié votre blog, c'est un cri du coeur et un cri d'amour au Liban.
(J'en profite pour faire un petit coucou à Gilbert DOumit ;) )
Je me permets de vous proposer 5 bloggeurs libanais, aussi amoureux du Liban que vous et moi, bien sûr avec chacun son propre style: ironique, admiratif, sentimental...
Alors voilà:
Liban uni (www.liban-uni.blogspot.com)
Min Beyrouth (minbeyrouth.blogspot.com)
Reporting Live from Beirut (www.reportinglivefrombeirut.blogspot.com)
Rive droite (www.derivedroite.blogspot.com)
et Pensées beyrouthines (www.penseesbeyrouthines.over-blog.com)

Bon courage !

Dr. Pamela Chrabieh said...

Merci beaucoup Youmnus, j'ai apprécié le vôtre également. J'irai faire un tour du côté des blogs suggérés. D'ailleurs, je poursuis une recherche sur la blogosphère Libanaise qui se concentre sur la guerre et la construction de la paix.
Bon courage pareillement!
Restons en contact!

Anonymous said...

Nahwa al Muwatiniya is pleased to invite you to an open dialogue session with:

Dr. Raed Mohsen

Titled:

Bulletproof?

The effects of violent clashes on Lebanese citizens

Dr. Mohsen is the chairperson of the communication arts department at the Lebanese American University. He will be joined by Lebanese youth from areas of conflict and from different political backgrounds. They will speak about their personal experiences and evaluation of the latest armed conflict.

Join us in this lively and informal debate!

PLACE: 961 Beer, Gemayzé (facing Doculand)

DATE: Monday, June 9 at 7:30 p.m. sharp

Anonymous said...

Nahwa al Muwatiniya is pleased to invite you to an open dialogue session moderated by:

Nizar Ghanem

Civil society activist and trainer on conflict resolution techniques

Titled:

What’s wrong, Lebanon?

You will be the speakers of this session! Come and express your fears and opinions on what you think is the problem in Lebanon, and suggest solutions that are crucial and necessary for the well-being of the country.
Join us in this lively and informal debate!

PLACE: 961 Beer, Gemayzé (facing Doculand)

DATE: Monday, June 16 at 7:30 p.m. sharp

Anonymous said...

Ce blog existe-t-il encore ? Depuis les évènements qui ont eu lieu en mai, aucun commentaire, aucune analyse. J'imagine que cela ne vas pas tarder, ton point de vue nous manque Pamela.